Nous avons passés une très bonne nuit à quai.
Pour profiter en masse de notre 50 $ U.S., nous allons prendre une autre douche, hi hi!
Alice s’amusent aussi avec ses amis les outardes et Camille s’amusent avec la caméra.
Voici ses amis Julie et John.
Et voici citron.
Par la suite nous nous préparons tranquillement pour la navigation, nous devons faire un arrêt au quai de service pour faire le plein de diesel et faire le « pump out ».
10h00 le pont ouvre et nous sommes prêts.
Ce n’est pas long que nous devons attendre un peu, car nous arrivons à une écluse.
L’éclusier avise de venir s’installer sur notre bâbord, mais le petit voilier devant nous vient surement de réaliser qu’il va à une écluse car il n’est pas prêt, pas d’amarre d’installés.
Comme il est très lent, Patrice décide de passer à côté, oulala! Qu’il n’est pas content, il change sa trajectoire et nous cri dessus.
Mais nous nous avons deux gros yachts qui nous poussent dans le derrière. Finalement un des gros yachts nous dépasse en faisant évidement une grosse vague dans un « no wake zone ».
Nous finissons par arriver à l’écluse juste derrière monsieur grincheux.
L’installation de tous les bateaux est plus longue que le changement du niveau de l’eau, un pied environ.
Ce n’est pas une écluse pour la dénivellation, mais pour gérer le courant.
Comme la navigation est facile, Camille prend la place du capitaine pour quelques minutes, elles ne sont malheureusement pas plus reposante pour lui.
11h09, nous arrivons devant un pont fermée et nous n’avons pas d’information sur les ouvertures, il n’était pas en service en 2014, oups! Notre livre n’est pas à jour.
Patrice appel et l’opératrice va l’ouvrir pour nous, yé!
Entre temps, un bateau Québécois « L’Anse aux Fraise » nous appel sur la V.H.F et nous demande des infos sur l’ouverture car lui il a comme info à toute les heures.
Comme il n’est pas loin, nous allons l’attendre pour le passage.
Une fois fait, nous pensions que c’était fini pour les ponts, mais surprise à 11h45 nous arrivons devant un pont habituellement ouvert qui est fermé.
Un opérateur nous avise qu’il sera fermé pour les 30 prochaines minutes.
12h00, le pont ouvre enfin et c’était le dernier de la journée, nous pouvons poursuivre jusqu’à Norfolk.
C’est toujours impressionnant de passer devant les navires de guerre, surtout les porte-avions.
Une fois arrivé sur les lieu pour l’ancrage, nous arrivons pas a y croire, le petit voilier laissé à l’abandon en 2014 est toujours là, à la même place, la barque semi-coulé en moins.
12h30, nous nous ancrons, me voici à l’œuvre, photo prise par Alice.
Nous sommes très heureux, c’est fini pour l’intra costal, fini les ponts! Il reste que les écluses.
Alice est très heureuse de retrouver ses amis les canards, notre chère Alice, elle serait prête à sauter un repas pour le leur offrir.
Nous prenons le temps de dîner et ensuite nous allons se promener en ville, en 2014 nous n’avions pas mis pieds à terre, donc c’est tout nouveau.
Pour se rendre au quai public pour le dinghy, nous devons faire le tour d’un navire de guerre mis pour musée, il est gigantesque.
Comme on a visité un sous-marin et un porte-avions à New York, nous faisons que prendre des photos extérieures.
C’est un Battleship Kentucky (BB-66), son surnom, le Wisky. « Wis » pour Wisconsin, son port d’attache et « Ky », pour Kentucky.
Ce navire a servi à la 2e guerre mondiale, la guerre de Corée, la guerre froide et la guerre du Golfe.
La longueur est impressionnante, mais c’est la forme de sa proue qui est le plus spectaculaire.
La ville de Norfolk est très belle et tellement propre.
C’est un peu déstabilisant de se retrouver dans une grande ville pleine de voiture et feux de circulation.
Il y a même des tramway.
Partout dans la ville, il y a des sirènes en sculpture, toutes différentes.
C’est l’avocat, Peter Decker qui a introduit l’idée de la parade des sirènes, ou plutôt c’est sa femme Bess qui a eu l’idée après sa visite de Chicago avec Chicago at the height of that city’s Cows on Parade.
Son mari a donc demandé au sculpteur local Kevin Gallup de confectionner 130 sirènes et ensuite, le 30 novembre 1999, il a demandé à 300 entreprises de les acheter à l’enchère à 2000$ chacune. Aujourd’hui, il y a 24 des sirènes qui sont exposées un peu partout dans la ville, certaine son originale d’autre son nouvelle et quelqu’une ont été complètement refaite à cause du vandalisme et le vol. Elles sont majoritairement devant les écoles, centre d’achats et Hôpitaux. Vous pouvez trouver les sirènes avec une carte sur internet.
Nous marchons un peu dans la ville et pour aller se réchauffer, nous faisons un petit arrêt au centre commercial MacArthur.
Nous nous sentons très petit dans l’immensité de la place avec tous ces magasins.
Camille et moi aimerions bien regarder plusieurs des boutiques, mais nous ne sommes pas là pour faire de la lèche vitrine, ce n’est que partie remise à notre retour au Québec.
Nous traversons donc le mail et poursuivons notre visite vers le Chrysler Museum of art.
C’est un des musées gratuits de Norfolk, mais comme il ne reste que 30 minutes, nous reviendrons demain.
Nous voyons aussi que le Glass Studio connexe au musée Chrysler, fait une démonstration de verre demain à midi, super, nous allons aller voir ça!
De retour au dinghy, Patrice part avec les filles dans le dinghy pour voir combien ils sont petits à côté de Wisky.
Une fois au bateau, Alice donne sa toast du déjeuner de demain au canard, hi hi! bien non, elle trouve des biscuits ritz un peu amochés, au grand plaisir des canards.
Ouf! Ça c’est une journée bien remplie, nous finissons celle-ci par un bon souper de salade césar aux poulets.