30 avril 2017, Wrightsville, Caroline du Nord, États-Unis
Voici notre ancrage.
Ya pire comme vue.
Après notre déjeuner, nous partons avec notre lunch et notre bonbonne de propane vide.
Il y a un beau quai public près de l’ancrage et celui-ci est près de la plage.
Nous allons y faire un tour, nous sommes un peu bizarre avec notre propane sur le chariot.
La plage est plus belle que celle de Ste-Augustine, le plus, c’est surement l’inexistence du gros tuyau.
Nous poursuivons donc notre marche jusqu’au propane.
En 2014, lors de notre arrivé à Wrightsville, nous avions vu notre premier palmier et nous avions photographié les filles avec celui-ci.
Voici le 30 octobre 2014
Aujourd’hui, les filles ont bien changées, mais le petit palmier aussi, malheureusement pas dans le bon sens.
Voici le 30 avril 2017.
À défaut d’avoir une table de pique-nique, nous mangeons notre lunch à une station-service fermée.
Nous sommes tout près de l’épicerie, donc en allant en reconnaissance, nous en profitons pour s’acheter un dessert, un bon sorbet au framboise, Mmmm!
Un petit arrêt au Westmarine, cette fois, comme nous sommes sur le chemin du retour, ça coûte moins cher.
Par la suite, comme la station pour le propane est à côté de l’épicerie, on se sépare et je vais faire le plein du propane et Patrice l’épicerie.
Ben oui, Annick fait l’épicerie et Patrice le propane.
Camille qui reste avec moi faire l’épicerie se régale en mangeant des fruits au présentoir, elle vient de dîner et manger un sorbet après tout, il reste de la place.
Sur le chemin du retour, nous rencontrons beaucoup de coureurs. Patrice a trouvé en cherchant sur internet qu’ils ont un marathon chaque mois, donc il y a beaucoup de gens qui court.
De retour au bateau, nous devons nous laver, le problème c’est que l’eau est brune, nous sommes habitués à l’eau translucide, ce n’est pas facile.
En après-midi, nous avons la confirmation de la visite pour le bateau demain à 13h30.
Ceci est l’icône de nos émotions.
Je m’explique, oui nous devons vendre le bateau, mais nous trouvons que c’est trop tôt, en fait moi et les filles voudrions le vendre après New York, là nous serions prête.
Nous allons quand même faire un beau ménage pour que La Smala soit à son meilleur pour une vente, mais demain matin.