11 au 13 octobre 2016, Fronteras, Guatemala

15h00, nos amis Taia reviennent d’Argentine, les filles retrouvent leurs amis Camila et Mathias.

Elles sont super contentes, d’autant plus que nous allons les garder à dormir deux nuits.

Ils sont de retour jusqu’au 13 octobre, ils s’envolent vers le Canada et laisse leur bateau au Guatemala.

Le 12 octobre, les filles aident leurs amis à faire le tri des choses dans leur chambre.

Les filles se font donc offrir plein de jouets, moi j’hérite de la nourriture sèche et livres d’école en anglais et Patrice d’un cellulaire qui est débloqué.

 

COOL!

Pour souper, comme c’est leur dernière soirée (Taia), nous allons toute un gang au Sundog manger de la pizza.

Belle soirée!

Comme prévu, nous gardons Camila et Mathias pour la nuit, comme c’est la dernière fois, nous les laissons écouter un film.

Le 13 octobre

Dernière avant-midi avec Taia, ils partent à 14h00.

Les enfants en profitent jusqu’à la dernière minutes.

Je reçois les médicaments et les épices de Taia, super! Merci!

14h00 c’est l’au revoir difficile et émotif, surtout pour les trois filles.

Nous nous promettons d’aller les voir à Toronto et eux de venir nous voir au Québec.

 

7 au 10 octobre 2016, Fronteras, Guatemala

Une fois l’école terminé, je peux aider Patrice aux réparations du bimini et dodger.

Nous refaisons les coutures qui sont dues et nous changeons quelques fermetures éclairs.

Maintenant, notre bimini et dodger sont comme neufs.

Le 8 et 9 octobre, la période de couture se poursuit, nous refaisons les moustiquaires.

Patrice refait celui de la descente et moi ceux des chambres et salon.

Pendant que nous travaillons, les filles s’amusent à la piscine, mais Alice se coupe avec une tuile de la piscine sur la main, une belle et vilaine coupure, pauvre cocotte,

Nous continuons quand même notre routine de piscine en après-midi et j’en profite pour faire quelques longueurs.

Il faut dire qu’ici nous ne bougeons pas beaucoup, il n’y a pas vraiment d’endroit où marcher, donc la natation est devenue notre activité sportive quotidienne.

Le 10 octobre, Patrice termine les pochettes de filière pour y mettre les cordages et moi je fais de nouvelles moustiquaires pour les filles.

Nous allons aussi en ville et je commence un peu le ravitaillement en papier toilette, savon à vaisselle en pâte et purée de haricot.

Nous n’allons pas faire un gros ravitaillement au Guatemala puisque nous voulons aller en Floride avant d’aller au Bahamas, mais je vais acheter ce qui se trouve ici et pas ailleurs, comme la purée d’haricot noir qui est super bonne et très nourrissante.

 

5 et 6 octobre 2016, Fronteras, Guatemala

Moi et Patrice continuons notre embellissement de La Smala. Nous profitons du fait que nos amis Taia nous prêtent leur machine à coudre pour faire un peu de couture.

Le capitaine à l’œuvre.

Cette fois, nous travaillons sur des cagnards ou des panneaux d’intimités pour le cockpit comme disent nos amis Prana.

Deux jours de travail pour deux panneaux, le résultat est super.

Ce n’est pas une machine à coudre sailrate (exprès pour les tissus sunbrella), donc nos points ne sont pas parfaits, mais nous sommes très heureux du résultat.

En soirée, le 5 octobre, vous imaginez l’état de la salle à manger après une journée de travail dans le bateau.

Surtout que nous arrêtons à 17h00.

Et bien la maman n’a pas envie de faire à souper, go nous allons au restaurant sundog ce soir; pizza.

En plus, nos amis Français font une représentation musicale à 6h30 au restaurant, nous allons pouvoir les voir.

Les prochains jours à venir seront encore consacré à la couture; réparation du dodger, Bimini et confection de nouveaux moustiquaires.

 

 

2 octobre 2016, Fronteras, Guatemala

7h00 am, nous sommes déjà en train de réinstaller le safran comme il faut, sans oublier de remettre le bouchon.

Cette fois-ci, Patrice a installé un bouchon avec anode intégré.

Le bateau est tout beau et près pour la mise à l’eau, espérons que cela va être possible.

11h15, le travelift est là pour notre mise à l’eau, nous profitons du temps qu’ils placent les sangles pour aller voir si notre espace à quai est libre….

Et bien NON! Je retourne donc à la réception de la marina et explique le tout, selon la dame qui est là, elle va faire en sorte que le bateau qui est à notre place soit déplacé.

Je suis donc de retour pour voir la balade de La Smala.

Le capitaine toujours près de son bateau.

Et enfin La Smala est de retour à l’eau et à notre arrivé au quai l’autre bateau n’y est plus et deux hommes sont là pour nous aider à accoster.

Après le dîner, lavage du pont pour enlever la petite poussière bleu et ouf! C’est fini pour aujourd’hui.

Pour le souper, nous allons au BBQ du dimanche pour la fête de Céleste, l’amie Australienne des filles.

Pinata, bonbon et gâteau font le plaisir des enfants.

1er octobre 2016, Frontras, Guatemala

Pendant que les filles fonts leur compréhension de lecture, moi et Patrice terminons la peinture.

Maintenant le bateau est tout bleu, il est vraiment plus beau ainsi. Patrice a fait du bon travail.

Par la suite, nous nettoyons l’hélice, il y a longtemps qu’on avait vu notre hélice si brillante.

En plus, nous changeons les anodes sur l’essieu et sur l’hélice.

Voici la comparaison avec l’ancienne anode de l’hélice.

Nous sommes chanceux, car nos anodes restent bonne longtemps, celle de l’hélice date de notre départ (2 ans).  Il faut dire qu’on évite les marinas!

Comme j’aide Patrice et qu’en plus je fais le professeur, je dois monter, descendre, monter, descendre l’échelle à plusieurs reprises.

C’est bien, car je n’ai pas le temps d’aller faire mes longueurs de piscine.

En après-midi, ils viennent changer les pattes de place pour que l’on puisse mettre l’antisalissure.

À la toute fin, comme il reste de la peinture et que nous ne voulons pas la trainer dans le bateau, Patrice met une 3e couche là où il y a plus de coquillage qui si colle.

Le travail accompli prend fin à 16h00.


Comme nous voulons retourner à l’eau demain, nous allons vite voir Karen pour planifier notre remise à l’eau.

Aussi, nous allons vérifier si notre espace à quai est libre… et bien non, un bateau à moteur s’y est installé.

Nous trouvons donc Edgar, celui qui s’occupe de la Marina Nanajuana et lui expliquons la situation, pas de problème il va aviser le propriétaire et notre espace sera libre pour demain.

Nous sommes trop épuisés pour aller à la piscine, à la place nous allons direct à la douche.

Souper rapidos presto et soirée film.

30 septembre 2016, Fronteras, Guatemala

8h30, Patrice commence le sablage de la coque et moi l’école.

À 11h00 Patrice a terminé et il est tout bleu.

Il est beau notre capitaine en Schtroumf!

Après le dîner, moi et Patrice nettoyons comme il faut la coque pour pouvoir entamer la première couche de peinture anti salissure.

Notre bateau commence à avoir une plus belle allure, un beau bleu azure remplace le patchwork de vieux bleu et rouge.

Patrice en profite aussi pour mettre une couche de primer sur les endroits du safran où il n’y avait plus de peinture.

Nous peinturons jusqu’à 17h00, les filles elles une fois l’école fini, vont passer la journée à la piscine.

Nous nous lavons une première fois avec des guenilles de solvant et ensuite une bonne douche chaude.

En soirée, notre beau capitaine se couche tôt et n’a aucune difficulté à s’endormir.

29 septembre 2016, Fronteras, Guatemala

Ce matin nous sortons notre bateau à Ram Marina pour refaire l’anti-fouling et graisser l’hélice. Notre rendez-vous est à 10h00.

9h30 nous partons pour s’amarrer au quai de service de la marine, de là, nous en profitons pour faire le plein d’eau potable.

Comme prévu, 10h00 le travel lift est là pour nous.

C’est la première fois qu’on voit cela, ici à la marina, un plongeur va vérifier les sangles sous le bateau avant de le monter.

Ils sont très minutieux.

Et c’est partie pour une balade sur terre pour La Smala.

Le capitaine surveille de près les opérations et les petits mousses aussi.

La Smala est vraiment sale.

Il n’y a pas beaucoup d’espace entre l’éolienne et la barre du travel lift, elle touche à une reprise durant le trajet, mais rien de majeur.

On nous installe donc dans la cour, à la fin de file indienne.

Nous avons payé 50 $ U.S pour faire rincer le bateau à la pression, mais lorsque l’homme arrive avec son matériel, il se fait dire qu’il ne peut pas, car ils sont en train de refaire la peinture du pont du bateau à côté de nous, c’est compréhensible, mais pourquoi nous avoir mis là dans ce cas.

Moi et Patrice allons donc vérifier avec Karen à la réception pour être sûr qu’elle sache le pourquoi nous sommes là, sablage et peinture de la coque et que nous voulons commencer aujourd’hui.

Et bien Karen est désolée, ils vont devoir nous changer de place en après-midi, par contre nous ne payerons pas la journée de carénage d’aujourd’hui.

Nous en profitons pour graisser l’hélice. Nous ne l’avons pas fait depuis que nous avons le bateau, soit 7 ans.

En fait nous ne savions pas qu’il fallait le faire, c’est moi en lisant le blog d’un autre bateau qui la découvert.

Dans le blog, il nous raconte sa mésaventure ou son hélice (la même que nous, soit une hélice à pas variable) reste bloquée en navigation.

Par la suite Patrice a fait des recherches et le graissage de l’hélice doit-être fait aux deux ans et en plus la manœuvre doit être faite hors de l’eau.

C’est une fois arrivé au Guatemala que Patrice a commandé le matériel nécessaire.

Donc, le graissage de l’hélice se fait facilement et le résultat est excellent, avant nous devions forcer un peu pour faire bouger l’hélice et maintenant seul avec un doigt elle bouge.

Comme nous devons attendre qu’il nous déplace, nous en profitons aussi pour aller en ville acheter du papier sablé, rouleau et tape.

Et au retour une petite trempette à la piscine.

Au retour, La Smala a changé de place et nous avons eu le lavage sous pression.

 

Malheureusement il est trop tard pour commencer à sablé la coque.

Vivre sur un bateau qui n’est pas sur l’eau à ses inconvénients.

Nous ne pouvons plus utiliser les toilettes puisque c’est l’eau sous le bateau qui fournit l’eau de la toilette.

De plus, comme c’est aussi l’eau sous le bateau qui refroidit le frigo, nous devons ouvrir le moins possible le frigo.

Patrice a installé un ventilateur devant compresseur du frigo, mais cela l’aide juste un peu.

Donc, nous sommes en camping dans notre bateau. Nous allons aux toilettes à l’extérieur en descendant l’échelle, une hauteur de 10 pieds.

Le jour ça va, mais la nuit…, c’est pourquoi le capitaine nous permet un petit pipi la nuit seulement dans la toilette et nous rinçons avec un verre d’eau.

Évidemment durant le jour, une des filles a oublié… Et oui Alice a oublié et a fait un beau caca dans la toilette.

Nous avons due rincer la toilette avec le tuyau d’arrosage, mais le caca c’est retrouvé sur le lieu de travail de papa en dessous du bateau.

Bon, demain sera une grosse journée.

27 septembre 2016, Fronteras, Guatemala

Moi et Pat allons en ville pour acheter de la peinture antisalissure pour le bateau.

Au magasin ils ont que deux gallons et nous avons besoin de trois.

La dame du magasin ne parle pas anglais, nous sortons donc pour la première fois depuis notre arrivé le dictionnaire français espagnol, pour se faire comprendre.

Finalement c’est bien réglé, nous allons avoir notre 3 e gallon dans 3 jours, ouf! Une chance car nous sortons le bateau dans deux jours.

Marcher dans la ville n’est pas très agréable, ça pue et c’est bruyant. De gros camions passe très près de nous, c’est dangereux.

Mais c’est quand même une expérience enrichissante, nous pouvons voir comment ils vivent.

Voici un porte bébé Guatémaltèque.

Et si vous regardez derrière, il y a le gros camion qui vient de passer, il n’y a pas vraiment d’espace.

Voici maintenant le covoiturage.

Je ne suis pas sûr qu’au Québec cela passerait.

Disons que côté confort….. Surtout pour le dernier.

Après un petit arrêt à l’épicerie, nous arrêtons dans un petit magasin de vêtement.

 

J’y ai trouvé un bel ensemble short pour 9$ canadien.

De retour au bateau, dîner, piscine et correction.

Après le souper, nous jouons à Carcassonne, Patrice ne prend pas les deux racler des deux jours précédent, il faut qu’il me batte.

Finalement , sur deux partie, Pat en a gagné une de justesse et Alice l’autre haut la main.

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