29 juillet 2016, Fronteras, Guatemala

Pour fêter la fin des classes, nous allons en expédition avec Taia et Moon dance voir la chute Finca El Parais .

Pour se rendre, c’est une navigation a dinghy d’une durer d’une heure.

Juste avant notre départ, Camille qui joue avec le cadenas du dinghy, l’échappe à l’eau.

Comme nous sommes à quai à une marina, l’eau n’est pas très belle, brune en fait et le fond est boueux.

Comme c’est notre seul cadenas assez grand pour le câble d’attache du dinghy, Patrice plonge à l’eau, hi hi !

Heureusement Patrice réussi le retrouver.

Patrice va pouvoir sécher durant la longue ride de dinghy.

La promenade en dinghy n’est pas si pénible qu’on aurait pu penser, il n’y a pas de vague.

La vue sur les montagnes est magnifique.

Une fois sur place, il y a un quai où l’on peut mettre le dinghy, c’est le quai d’un resort. Comme c’est un « parc » une dame nous charge 10 Quetzal par personne.

Pour se rendre à la chute, il faut marcher un peu, la dame nous donne les indications et go c’est partie.

Au début de la marche, nous voyons de beau chevaux et un petit poulain vraiment mignon.

Par la suite nous rencontrons de jeunes enfants qui vendent des noix de coco.

Les enfants qui n’ont rien à vendre, nous demande; nos bouteille d’eau ou des bracelets.

Natalia qui avait des bracelets en donne deux.

Finalement Ernesto achète une des noix de coco.

C’est toute une leçon pour nos enfants, au lieu de jouer, ils doivent aller vendre des noix de coco pour aider la famille.

Par la suite nous quittons la route pour aller dans une trail, dès le début un homme veut nous faire payer l’entrée sur le parc, une chance que nos amis parlent espagnol car ils leur expliquent que nous avons déjà payé.

Par contre, même si on dit que ce n’est pas nécessaire, un guide tient à nous montrer le chemin. Il nous reste que 10 minutes de marche à faire.

Une fois sur place, il est difficile de ne pas donner quelque chose à l’homme qui nous a ouvert le chemin, alors un petit 10 Quetzal.

La chute wow! Elle est superbe.

En plus ce n’est pas une chute ordinaire, c’est une chute thermale, donc elle est chaude et tombe dans la rivière froide.

L’eau de la chute est tellement chaude qu’il y est difficile de rester en dessous.

Nous nous sommes aussi amusés à sauter du haut de la chute, ce n’était pas aussi haut que les 25 pieds en Jamaïque, mais quand même amusant.

Sous la chute, il y avait deux caverne qu’on pouvait avoir accès que par en dessous de l’eau, disons que la première fois ou tu y vas, c’est un peu épeurant.

Comme c’est de l’eau qui est chauffé par un volcan, nous avons l’odeur du souffre, mais aussi qui dit souffre, chute, eau = boue hi hi!

Donc, bain de boue sulfureuse.

Disons que pour moi, Pat s’est amusé à me tripotter avec ses mains pleines de boue.

C’est toujours un plaisir de jouer dans la boue.

Par la suite, comme la boue était dans là-haut de la chute, nous sautons d’en haut, yé!

Vraiment, c’est paradisiaque, ne pas être ci loin, nous reviendrions.

Pour le dîner, petit pique-nique avec vue sur la chute, quoi de mieux!

Tout plaisir à une fin, nous devons retourner et le chemin du retour est long.

Finalement le retour prend 25 minutes de plus que l’aller. Nous avons les vagues de face, ouach!

C’est un retour très pénible.

Une fois de retour, la douche est de mise car nous avons encore de la boue et surtout, nous sentons le souffre.

Grosse journée!

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