22 mai 2017, Washington D.C, États-Unis
Ce matin nous reprenons le métro et en plus nous prenons l’autobus. Nous allons au National Air and Space Museum en Virginie.
Les filles sont très excitées puisque le métro sort à l’extérieur.
Après près d’une heure et demie de transport en commun, chose bizarre pour nous, nous arrivons au musée.
Des centaines d’avions et d’engins spatiaux sont exposés dans deux gigantesques hangars.
Dès le début, nous avons une vue en plongée du célèbre Lockheed SR-71 Blackbird.
C’est une grande vedette, c’est celui du film du 2e des Transformer.
C’est même ici même qu’ils ont tourné les scènes.
Il y a même des petites reproductions des robots, le costume de l’agent Simmons ainsi qu’un morceau du All Spark.
C’est impressionnant le nombre d’avion qu’il y a.
Nous faisons le tour en prenant connaissance de celle qui nous intéresse le plus, disons que tout lire, en anglais seulement, prendrait plus qu’une journée.
Il y en a qui sont impressionnantes en grosseur, mais il y en a que c’est tout le contraire.
Nous pouvons faire un peu d’enseignement pour les filles, un des sujets plutôt triste à raconter est celui des Kamikazes.
Il y a vraiment une grande variété, nous pouvons admirer un Boeing, avions et hélicoptères militaires jusqu’au petit avion pour suivre la migration des oiseaux.
Nous terminons notre visite par la partie sur l’espace.
Dans le hangar, il y a des satellites, maison mobile de quarantaine pour le retour des astronautes, des Gemini, module de commande Apollo, des roquettes et missiles, laboratoire scientifique orbital ainsi que bien sur la navette Discovery et le bras canadien.
Comme nous sommes quand début d’après-midi, nous décidons de prendre autobus et métro jusqu’au musée de la poste.
C’est un musée sur l’histoire de la poste.
Nous y apprenons que le premier facteur américain, en janvier 1673, marchait de New York jusqu’à Boston.
Une longue marche de 268 miles dans les bois. Pour que les autres puissent suivre son chemin, il donnait un coup de hache dans les arbres.
Le chemin ainsi parcouru est devenu le « King’s Best Highway » que l’on nomme aujourd’hui le U.S. 1.
Les filles sont contentes puisqu’il est un peu interactif, pas seulement des écriteaux à lire.
Il y a une collection des différentes formes de boîte postale de partout dans le monde, nous avons bien sur reconnu la nôtre, même si nous n’en avons pas vu depuis 3 ans.
Une chose intéressante que nous avons apprise, c’est le « POSTSECRET ».
Les gens sont invités à envoyer une carte postale de façon anonyme et dit inscrire un secret.
Ils demandent de la rendre créative et colorée.
Voici quelqu’une qui sont affichées qui ont retenu notre attention.
Par la suite, nous allons voir la partie sur les timbres.
Les filles s’amusent à y créer leurs propres timbres par ordinateur.
Voici nos créations.
Oui oui, c’est bien un timbre à l’effigie de La Smala, cool non!
Nous aurions pu rester ici plus longtemps, mais le musée ferme nous devons quitter les lieux.
Sur le chemin du retour, un arrêt au Walmart (déjà de retour celui-là), pour achat de petites culottes pour les filles et de huile pour La Smala.
Nous arrêtons aussi à l’épicerie pour s’acheter de quoi faire un petit pique-nique à la marina.
Nous finissons avec des nachos avec humus et guacamole.
Une bonne douche après cette grosse journée n’est pas de refus et dodo.