3 avril 2016, Port Antonio, Jamaïque

Tout l’équipage se lève tard ce matin, nous avions besoin de récupérer un peu. Nous avons tellement bien dormi, pas personne c’est levé pour aller à la toilette.

Nous avons une belle surprise en se levant moi et Patrice, Alice et Camille nous ont préparé le déjeuner et elles ont décoré la table avec des fleurs dessinées.

Après le déjeuner, un peu d’école. Il faut bien recommencer, les filles ont eu 4 jours de congé durant la navigation. Au sujet ce jour, math et français.

Par la suite, nous allons marcher dans la ville.

Nous voyons au quai un voilier qui est arrivé ce matin, une de sais voile est toute déchiré, il n’a pas eu une belle navigation ?????

Finalement mes craintes vis-à-vis la sécurité ne sont pas fondé. Les gens sont très gentils et très sympathiques.

Nous arrêtons dans une petite épicerie, c’est bizarre de voir les prix, pour des œufs, un pain, des nouilles et 2 concombres = 1200$ Jamaïcan, soit 12$ canadien.

Nous marchons ensuite jusqu’à un beau petit phare, l’eau au pourtour est d’une limpidité extraordinaire, nous allons revenir en apnée.

En après- midi, nous allons nous baigner dans un petit au fond près de l’île Navi Island, où il y a un ancienne hôtel abandonné.

 

Nous allons ensuite explorer cette petite île desserte. Il y a longtemps, cette île a déjà appartenu à l’acteur Hollywoodien des années 30 -40 ; Errol Flynn, selon la légende il l’aurait gagné au poker.

Cette île où reposent les ruines du Navy Island Marina resort est d’une beauté extraordinaire. La nature à reprit son cour, la végétation y est exceptionnelle.

Nous marchons dans la jungle comme Jurassique Park sans les dinosaures.

Nous suivons un petit chemin qui n’est pas très achalandé, nous sommes seul sur cette île.

A part une petite mésaventure de fourmi avec Alice, nous n’avons rencontrés aucuns animaux sauvages, pas de dinosaure, pas d’araignées gigantesques. Une belle promenade dans la jungle.

Nous finissons par un petit arrêt à la piscine avant d’aller à la douche.

De retour au bateau nous sortons les moustiquaires, ils sont bien rangés, car nous ne les avons pas utilisés depuis très longtemps, il en a même un qui manque à l’appel.

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