8 octobre 2015, Petit Calivigny, Grenade
Pas d’école se matin, une pause pour aller voir des chutes, les Seven Sisters.
Véro de Advitam nous accompagne. Nous partons à 8h30, vite vite nous devons nous mettre à l’abri, il y a une grosse averse qui arrive.
Pour ce rendre nous devons prendre 2 autobus, la première nous amène à St-George et la deuxième aux chutes. Ceci a pris environ une heure.
Une fois sur place il y a personne à la guérite, bon! L’entrée est gratuite pour aujourd’hui, super.
Nous amorçons notre parcours jusqu’aux deux première chutes, en route nous croisons un guide qui nous avertis que comme il a plu beaucoup de ne pas essayer de traverser les rivières le courant est très fort.
Le sentier est un peu boueux et glissant, mais la végétation est superbe.
Saviez-vous que le bambou pousse d’environ 20 centimètre par jour et certaines espèces jusqu’à 1 mètre par jour, c’est fou. Si tu restes devant un bambou toute une journée tu peux le voir pousser.
Arrivés aux deux premières chutes, il y a une petite rivière minuscule, même pas un pied d’eau, qu’il faut traverser pour aller voir les chutes de plus près.
Patrice s’avance donc tranquillement, ya rien là, on a pire au Québec. Nous suivons donc Patrice.
Une fois traversé, nous voyons mieux les deux chutes, là il y a du courant. Malheureusement, comme il a eu beaucoup de pluie, l’eau est brunâtre.
C’est beau, mais le fait d’avoir de l’eau brune gâche la beauté. Cette chute aurait pu être extraordinaire dans d’autres circonstances.
Nous partons ensuite vers la 3e chute. Le sentier est un peu plus cahoteux.
La 3e chute est plus petite, mais mignonne. Le débit de l’eau est aussi très fort.
Pour aller voir les autre chute, il faut grimper dans la chute (3e) et après le sentier est dit difficile. Une fois arrivé en haut de la 7‘, pour redescendre il faut sauter de 36 ‘ hauteur. On dit qu’il arrive souvent que les gens se blessent en sautant. De toute façon, avec les filles, juste grimper la 3e chute avec le courant qu’il y a nous fait rebrousser chemin.
Au retour nous croisons de beaux et mignons petits cochonnets. Alice essaie évidement dans prendre un, mais ils sont peureux.
Ainsi qu’un beau paysage.
L’autobus pour le retour est plus difficile à trouver, nous avons marchés une vingtaines de minutes. Nous sommes chanceux nous n’avons pas eu de pluie.
De retour à St-George, nous arrêtons à l’épicerie, là le temps nous rattrape, déjà Noël qui approche.
C’est dur de s’imaginer Noël dans les Antilles, il fait beau et chaud. La neige me manque à ce moment-là, juste un peu quand même.
Patrice c’est amusé avec le père Noël.
Père Noël avec des lunettes de soleil, hi hi.
De retour au bateau je suis claquée.